5 parfums très poétiques à découvrir sur cette vidéo très convaincante !
Vous savez déjà lequel vous allez choisir ?

Poète autrement
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Vous savez déjà lequel vous allez choisir ?

En 1941, la guere était mondiale, et en France, il fallait dire Maréchal sinon on avait des ennuis.
Pourtant il y en avait quelques uns qui disaient De Gaulle et ceux là le payaient cher.
Et puis au fil du temps , ce que tout le monde savait tout bas ou avait été obligés d’admettre, il fallait bien vivre, s’est fissuré
Maréchal était à la solde d’une puissance et cela ne marchait pas, tout le monde le voyait bien
Et lorsque les libérateurs sont arrivés, il a été de bon de redire démocratie car elle n’avait jamais cessé d’être vérité.
Aujourd’hui qu’en est il de cette vérité ?
Combien d’entre vous savent tout bas ou sont obligés d’admettre pour les mêmes raisons ?
Ce n’est de la probabilité d’une conséquence sur notre capacité à vivre qui m’inquiète, la guerre n’a jamais tué un pays entier , mais c’est bien de notre lâcheté à ne pas tenir compte des leçons de l’histoire que je désespère
Nous sommes décidément trop cons pour que nous méritions pas d’être considérés comme tels
Les imbéciles font toujours le lit de ceux qui en profitent.
Savoir dire non est humain.
Savoir oui à sa peur conduit à l’horreur, faut- il le rappeler ?
Jamais je n’aurais dit , Maréchal , nous voilà..
J’ai au moins cet honneur là.
A bon entendeur, .
Les gens les moins malheureux
Sont les plus à plaindre
Tant ils le sont peu
Et radio ouin ouin
Un courageux n'est à jamais à plaindre
Il agit, montre et domine
Supporte et console
Nos moins malheureux
Et il y a la tortue

L'amour serait un fluide d'Être
Dont la casserole se ferait passoire
Tant il fait peur de s'en laisser
Donner
Et que pour cette crainte la capacité se fait chaudron de détresse et ou de moins être
Et si immense n'était pas ma patience à laisser au temps le temps de s'infuser.
Je m'enfuirais, vois-tu, de cet enfer
A te voir persister à nier à ton sourire l'accès à son possible bonheur
Cette fraternité du meilleur pour toi étant en opposition avec la disruption du pire à ne pas perdre.
De ce bordel à penser, où la raison se fait pute
Je t'attends, toi, au malgré toi à savoir aimer, en bas, assis sur la bordure du trottoir
A observer rêveusement le caniveau du temps perdu
Le flux de la vieillesse s'écoulant
Et me bouchant les oreilles de tes horribles coïts avec maîtresse solitude à oeuvrer au seul plaisir solitaire de ton ego craintif
Car, là où tu vois lubricité, je vois toi , quintescence matérielle de la partie de l'âme.
Là où tu vois complexité d'un poème difficile à comprendre, je vois le miroir du tortueux de ton esprit, à ne pas te laisser convaincre par la force de la simplicité de l'évidence.
Là où tu crains la probabilité inquantifiée d'un futur à perdre ce que tu crois avoir donné et en réalité vendu, je vois la torture certaine du noueux de ton corps, à l'heure de son abandon pour l'éternité à reprocher à ton esprit et ton âme la persistance de leur aventure avec le moi intérieur au détriment de l'ouverture bien plus profitable au moi extérieur, qui t'attend patiemment depuis si longtemps, au pied de ton espérance,
les genoux au dessus du caniveau du temps.
Il aura donc fallu que je me matérialise corps, moi partie soeur d'une des proportions de l'âme, pour écrire ce poème à décrypter et de te le proposer.
La clé de sa compréhension est simple et ici présente
A la multiplicité du peut-être de chaque trou de la passoire de tes peurs, préfère le fond lisse de la casserole à te laisser aimer sans trop te poser de questions.
C'est ainsi que tu iras mieux.
Mieux étant qualité de ta vie.

Last night, beloved Mother, you took a last breath and left us your weary body. On this hospital bed where inhuman suffering had so sadly led you.
No matter the quality of my talent, you passed to the posterity, mother of poet, you henceforth mother word
No need for me to be sad, you are there under my own eyes and those of everyone who will meet your new silhouette. For ever !
The six letters of a magical smiled word:
Mother!

The sea and the wind
Running on the beach
Which of the two
Will win the feat
By being the first
To make me like the waves
In which I will have fun
Before this divine day
In which I'll find you
And I’ll make love to you
In our little beach hut
In which you have
Just kissed me
On that delicious day
It was the week behind
Of this stormy day
Up there on the beach
At the edge of the dune
But I don’t hide my face
Cause the real question
Will be to know
If you‘ll wish it
And above all if
You will invite me.
What I hope sincerely
In the deepest of my heart,
I, the french boy,
Deeply seduced
By your marin lovin charm
© Gilles de Chasles
Voyage dans l’univers du rayon de soleil

Dans mon monde où rien ne va
Où rien ne devrait aller,
à vouloir obéir à la despotique morsure de la souffrance,
Il existe un autre monde,
un univers en expansion,
depuis que je l'ai ouvert au discernement de ma conscience,
Un havre de paix, paradisiaque et magique que j'ai nommé
germe de l'univers du rayon de soleil.
Dans ce monde de joie extrême,
où l'idée même de peur est bannie,
je me retrouve moi même, en paix, dans la sérénité consciente de mon âme,de mon esprit et de mon corps.
De fait, dans ces conditions, veuillez accepter et comprendre
que je ne suis plus le fantôme réel de moi même auquel vous n' avez jamais eu conscience de parler.
Il est possible vivre sur Terre
et en même temps,
dans un autre ailleurs
que celui de la douleur permanente ou presque,
complice de l'horloge de ma chambre, dont les aiguilles agissent sur moi comme autant de bandilles sous les olé de ce tic tac que je maudis tant
Ce n'est un secret pour personne, joie immense ou tristesse profonde, le curseur du choix du regard sur soi-même est entre les mains de chacun.
J'assume la parfaite joie de mon choix.
Suis je un illuminé ?
Aux circonstances de la maladie au long cours dont je serais le coleterale victime ?
Ou celui qui n'avait auparavant si peu compris de feu sa vie de valide d'avant, que sa longue présence dans l'arène de la vie dure est une chance merveilleusement offerte de ne plus être le fantôme du paraître qu'il était ?
Ne me jugez pas avant d'avoir connu la joie de cela
Of the soul's dignity of whom wants to become rich
Don't ask me
What kind of guy I am
Gorging myself on the hope
To have so much wealth
That I forget to be loyal
With my gentlemanly dignity
By acquiring in my turn
Of my commitment with these words
Witnesses of my fidelity
To the human race
And of my generosity
Towards the most humbles
Without which
I will be the last of the men
And the first
Of those fucking bastards
Who forget so easy and so fast,
That an hasardous day
They just started from,
their mother's bottom
And became themselves
By the courage of their families
Helpfull people and own friends.
These words could become gold
By reversing eighty percent of their earns
To a panel of charity funds which work
To the growth of the gentleness
Everywhere in the world,
A very old vertue erased by the Time
And cupid blindness of few manies
Which must absloutly rebirth
If we want to be certain to give
The better chances to preserve
Our bodies , minds and souls
Of the anounced tragedy
By doing nothing , except to be
The insignifiant and powerless Witnesses
Of our proper unconsciousness
The 20 others percent will be attributed
To the growth of my personnal art
of the gentle maner to tell us to ourselves
With the sweetness of my singing verses
The hard reality of the truth
All of that could be possible
If you let your heart speaking
And , of course, your lightned consciousness
By purchasing or bidding on this poem
by
Une bibliothèque a poussé à l’emplacement d’une gare, là même où peut être un jour, le grand auteur aura foulé de ses célèbres pas, le quai qui ne l’attendait plus.
De ce passé révolu, la gare n’existe plus. A sa place, un endroit couvert et clos aux innombrables jaquettes
De ce lieu autrefois temple des vapeurs d’adieu, ne reste aujourd’hui que le bruissement silencieux du pas des lecteurs respectueux , dans la pénombre des rayons clairsemés
Tout cet enchevêtrement littéraire perpendiculaire à ce que furent un jour le parallèle des rails , qui ramenèrent un jour chez lui le grand auteur aux ouvrages, du temps oublie dans un bâtiment désormais nommé : la bibli .
s av
by
Mais encore si loin de son immense talent qu’il me faut encore beaucoup travailler

Poète du quotidien transformé
“Il y a des jours où les mots ne viennent pas pour dire ce que l’on est. Alors on les invente.”