Gilles de Chasles

Poète autrement

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    5 parfums très poétiques à découvrir sur cette vidéo très convaincante !

    Vous savez déjà lequel vous allez choisir ?

  • L’honneur en 2021

    En 1941, la guere était mondiale, et en France,  il fallait dire  Maréchal sinon on avait des ennuis.
    Pourtant il y en avait quelques uns qui disaient De Gaulle et ceux là le payaient cher.
    Et puis au fil du temps , ce que tout le monde savait tout bas ou avait été obligés d’admettre, il fallait bien vivre,  s’est fissuré  
    Maréchal était à la solde  d’une puissance  et cela ne marchait pas, tout le monde le voyait bien
    Et lorsque les libérateurs sont arrivés, il a été de bon  de redire démocratie car elle  n’avait  jamais cessé d’être vérité.

    Aujourd’hui qu’en est il de cette vérité ?
    Combien d’entre vous savent  tout  bas ou sont obligés  d’admettre  pour les mêmes raisons ?

    Ce n’est de la probabilité d’une conséquence sur notre capacité à vivre  qui m’inquiète, la guerre n’a jamais tué un pays entier , mais c’est bien de notre lâcheté à ne pas tenir compte des leçons de l’histoire  que je désespère

    Nous sommes décidément trop cons pour que nous   méritions pas d’être  considérés comme tels

    Les imbéciles font toujours le lit de ceux qui en profitent.

    Savoir dire non est humain.
    Savoir oui à sa peur conduit à l’horreur, faut- il le rappeler ?

    Jamais je n’aurais dit , Maréchal , nous voilà..
    J’ai au moins cet honneur là.

    A bon entendeur, .

  • Courage et Ouin-ouin

    Les gens les moins malheureux
    Sont les plus à plaindre
    Tant ils le sont peu
    Et radio ouin ouin
    Un courageux n'est à jamais à plaindre
    Il agit, montre et domine
    Supporte et console
    Nos moins malheureux

    Et il y a la tortue

  • Le fond simple et lisse d’une casserole

    L'amour serait un fluide d'Être
    Dont la casserole se ferait passoire
    Tant il fait peur de s'en laisser
    Donner
    Et que pour cette crainte la capacité se fait chaudron de détresse et ou de moins être
    Et  si immense n'était pas ma patience à laisser au temps le temps de s'infuser.
    Je m'enfuirais, vois-tu, de cet enfer
    A te voir persister à nier à ton sourire l'accès à son possible bonheur
    Cette fraternité du meilleur pour toi étant en opposition avec la disruption du pire à ne pas perdre.


    De ce bordel à penser, où la raison se fait pute
    Je t'attends, toi, au malgré toi à savoir aimer, en bas, assis sur la bordure du trottoir
    A observer rêveusement le caniveau du temps perdu
    Le flux de la vieillesse s'écoulant
    Et me bouchant les oreilles de tes horribles coïts avec maîtresse solitude à oeuvrer au seul plaisir solitaire de ton ego craintif

    Car, là où tu vois lubricité, je vois toi , quintescence matérielle de la partie de l'âme.

    Là où tu vois complexité d'un poème difficile à comprendre, je vois le miroir du tortueux de ton esprit, à ne pas te laisser convaincre par la force de la simplicité de l'évidence.

    Là où tu crains la probabilité inquantifiée d'un futur à perdre ce que tu crois avoir donné et en réalité vendu, je vois la torture certaine du noueux de ton corps, à l'heure de son abandon pour l'éternité à reprocher à ton esprit et ton âme la persistance de leur aventure avec le moi intérieur au détriment de l'ouverture bien plus profitable au moi extérieur, qui t'attend patiemment depuis si longtemps, au pied de ton espérance,
    les genoux au dessus du caniveau du temps.

    Il aura donc fallu que je me matérialise corps, moi partie soeur d'une des proportions de l'âme, pour écrire ce poème à décrypter et de te le proposer.

    La clé de sa compréhension est simple et ici présente

    A la multiplicité du peut-être de chaque trou de la passoire de tes peurs, préfère le fond lisse de la casserole à te laisser aimer sans trop te poser de questions.

    C'est ainsi que tu iras mieux.

    Mieux étant qualité de ta vie.





  • Mother, smiled word !

    Last night, beloved Mother, you took a last breath and left us your weary body. On this hospital bed where inhuman suffering had so sadly led you.

    No matter the quality of my talent, you passed to the posterity, mother of poet, you henceforth mother word

    No need for me to be sad, you are there under my own eyes and those of everyone who will meet your new silhouette. For ever !

    The six letters of a magical smiled word:

    Mother!

  • Sea and wind

    The sea and the wind
    Running on the beach
    Which of the two
    Will win the feat
    By being the first
    To make me like the waves
    In which I will have fun
    Before this divine day
    In which I'll find you
    And I’ll make love to you
    In our little beach hut
    In which you have
    Just kissed me
    On that delicious day
    It was the week behind
    Of this stormy day
    Up there on the beach
    At the edge of the dune
    But I don’t hide my face
    Cause the real question
    Will be to know
    If you‘ll wish it
    And above all if
    You will invite me.
    What I hope sincerely
    In the deepest of my heart,
    I, the french boy,
    Deeply seduced
    By your marin lovin charm


    © Gilles de Chasles

  • Fantôme de moi-même

    Voyage dans l’univers du rayon de soleil

    Dans mon monde où rien ne va 
    Où rien ne devrait aller,
    à vouloir obéir à la despotique morsure de la souffrance,
    Il existe un autre monde,
    un univers en expansion,
    depuis que je l'ai ouvert au discernement de ma conscience,
    Un havre de paix, paradisiaque et magique que j'ai nommé
    germe de l'univers du rayon de soleil.

    Dans ce monde de joie extrême,
    où l'idée même de peur est bannie,
    je me retrouve moi même, en paix, dans la sérénité consciente de mon âme,de mon esprit et de mon corps.


    De fait, dans ces conditions, veuillez accepter et comprendre
    que je ne suis plus le fantôme réel de moi même auquel vous n' avez jamais eu conscience de parler.

    Il est possible vivre sur Terre
    et en même temps,
    dans un autre ailleurs
    que celui de la douleur permanente ou presque,
    complice de l'horloge de ma chambre, dont les aiguilles agissent sur moi comme autant de bandilles sous les olé de ce tic tac que je maudis tant

    Ce n'est un secret pour personne, joie immense ou tristesse profonde, le curseur du choix du regard sur soi-même est entre les mains de chacun.

    J'assume la parfaite joie de mon choix.

    Suis je un illuminé ?
    Aux circonstances de la maladie au long cours dont je serais le coleterale victime ?

    Ou celui qui n'avait auparavant si peu compris de feu sa vie de valide d'avant, que sa longue présence dans l'arène de la vie dure est une chance merveilleusement offerte de ne plus être le fantôme du paraître qu'il était ?


    Ne me jugez pas avant d'avoir connu la joie de cela


  • Of the soul’s dignity of whom wants to become rich

    Of the soul's dignity of whom wants to become rich 

    Don't ask me
    What kind of guy I am
    Gorging myself on the hope
    To have so much wealth
    That I forget to be loyal
    With my gentlemanly dignity
    By acquiring in my turn
    Of my commitment with these words
    Witnesses of my fidelity
    To the human race
    And of my generosity
    Towards the most humbles
    Without which
    I will be the last of the men
    And the first
    Of those fucking bastards
    Who forget so easy and so fast,
    That an hasardous day
    They just started from,
    their mother's bottom
    And became themselves
    By the courage of their families
    Helpfull people and own friends.


    These words could become gold
    By reversing eighty percent of their earns
    To a panel of charity funds which work
    To the growth of the gentleness
    Everywhere in the world,
    A very old vertue erased by the Time
    And cupid blindness of few manies
    Which must absloutly rebirth
    If we want to be certain to give
    The better chances to preserve
    Our bodies , minds and souls
    Of the anounced tragedy
    By doing nothing , except to be
    The insignifiant and powerless Witnesses
    Of our proper unconsciousness


    The 20 others percent will be attributed
    To the growth of my personnal art
    of the gentle maner to tell us to ourselves
    With the sweetness of my singing verses
    The hard reality of the truth

    All of that could be possible
    If you let your heart speaking
    And , of course, your lightned consciousness
    By purchasing or bidding on this poem
  • Gare des livres

    Une bibliothèque a poussé à l’emplacement d’une gare, là même où peut être un jour, le grand auteur aura foulé de ses célèbres pas, le quai qui ne l’attendait plus.

    De ce passé révolu, la gare n’existe plus. A sa place, un endroit couvert et clos aux innombrables jaquettes

    De ce lieu autrefois temple des vapeurs d’adieu, ne reste aujourd’hui que le bruissement silencieux du pas des lecteurs respectueux , dans la pénombre des rayons clairsemés

    Tout cet enchevêtrement littéraire perpendiculaire à ce que furent un jour le parallèle des rails , qui ramenèrent un jour chez lui le grand auteur aux ouvrages, du temps oublie dans un bâtiment désormais nommé : la bibli .

    s av

  • Inspiré de maître Verlaine

    Mais encore si loin de son immense talent qu’il me faut encore beaucoup travailler

Gilles de Chasles

Poète du quotidien transformé

“Il y a des jours où les mots ne viennent pas pour dire ce que l’on est. Alors on les invente.”