Tard aux Haas, la lumière rase

Le sable est roux, j’ai froid

 Sur mes genoux, un chiffon

Un griffonné aux mots souillons

Une presqu’idée, très  encore rien

Un vaurien,  ô voleur! Vif Désespoir!

 Il est tard aux Haas , et si tôt le soir !

Au loin, le falot Fréhel balaie, ocre, le ciel

Si frêle au crépuscule, l’été 23 s’éteint

Le jour demain, ailleurs, aux petits soins

 Gilles de Chasles

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