Category: postiche s

  • Mais encore si loin de son immense talent qu’il me faut encore beaucoup travailler

  • Postiche moderne du poème éponyme de José Maria de Herredia

    Tous deux ils regardaient du plus haut des remparts
    La tempête se quereller aux gris des flots
    Et le strident de l’air, siffler de toutes parts
    Ils étaient venus en weekend à Saint Malo.

    Et le Parisien sentait sous son chandail fin
    Cadre fier berçant l’illusion de l’impuissant
    Le frisson l’emporter sur son cœur défaillant
    Le désir voluptueux plus que ses amours feints

    Tournant sa tête coiffée d’un bonnet marin
    Vers celui qu’excitaient la prothèses de ses seins
    Elle tendit ses lèvres et ses paupières maquillées

    L’haleine mentholée, l’étalon de Saint Cloud
    Sentit son smartphone vibrer, c’était sa mère
    Un glacial immense où commençait la galère,