Catégorie : poèmes pour mieux vivre
-
poème du dimanche matin d’une femme vertueuse dit poème de l’oreiller vertueux
Ce dimanche matin, tu vas te réveiller, et pour te sourire, ton oreiller. Imagine un instant, à la place de l’oreiller, un visage connu que tu as une folle envie d’embrasser ? Insoutenable légèreté du poids de la culpabilité pour la belle s’étant endormie avec pour couverture la vertu ! Pourquoi tant souffrir à aimer…
-
Tout va très bien
Au silence de la minute d’aprèsTu nous as confié ton éternitéOuvrant sur les étoiles d’un doux vent frais Ton âme, céleste et ta vaste bonté Etre sans bruit, aux battements de nos coeursTu es là, au panthéon en couleurs Des hommes et des femmes simples et influentsPlus qu’un homme, une gentillesse, un talent Au repos…
-
Douce
Un imperceptible bruissement d’ailes et à peine mon nouveau droit au bonheur avait il éclos, que la surprise de,ô toi ,🦋 me vint immédiate valse à l’esprit. L’air est volubile au pesant ce que le frais amour est à la peur. Gilles de Chasles
-
Parce que
Parce que Parce que me taire t’arrange et me dérange Parce que ta bulle est refuge et te rassure Ta liberté est là, et m’éconduit Te respecter ainsi, ou ne plus être Parce que tu me plais et de toi je me délecte Parce que mes je t’aime sonores et moi le sourd Ma liberté…
-
Nocturne marine au Sillon
Au soir humide des traitresses pluies d’ocre automneAlors qu’au loin des maisons, le ressac tonne,Aux pas fuyants des verts amants poivre et argent La houle baleine se cache à l’eau, mouillant les passants. Nous deux, ombres fluettes, à l’imaginaire oppresséL’âme allumette, le couple en boule, la gloire passée,Nous marchons. Nous errons. Nous arpentons, fats, le…
-
Heureux comme le père d’Ulysse
Je suis un mort, que la mort, hélas, n’est pas venue chercher Mon existence est joies, aux sourires, l’offrande, l’outrage tempêtant ! Or, fraternel à la ville, de mon bon cœur liant, je ris pour tant! A l’heure esseulée, mes souffrances, iniques, fuient mes longs sanglots D’aucune larme, je ne veux vous savoir ni détresse,…
-
Le Bonheur que l’on s’interdit
Le bonheur surprend car il se présente toujours à nous bien différent de celui qu’on attendait, à une heure où on ne l’espérait plus et à laquelle on s’est accordé d’être nous mêmes, c’est à dire en défaut de ne plus paraître ce qu’on donne à croire de nous. Étonnés de ne pas voir son…
-
Lorsque
Lorsque le sort t’abandonne, et que l’adversité te fait farce, alors abandonne-toi à l’autre et laisse sa force faire face à ta place.Surtout, ne résiste en rien, ne te crois jamais moins que bien, tu n’arriveras à rien, sinon à enrichir ta peur.Accepte de te laisser surpasser par ce qui te surpasse.Aie l’audace de l’humilité…
-
Baiser pacifique
Ce baiser, à tes lèvres suspendu, en belle ombre, A l’automnale lueur, d’une Lune, en demi sombre, Ce douze novembre, au parfum, clandestin, sans remords, Qui ? Pour juger nos vies de rêve, alligator? L’armistice, de mon désir révolte en éclats, Je n’en peux plus, de cette souffrance ! Or, te voilà ! Féline, duelle,…
-
Mon désormais bonheur
Que les vils s’intoxiquent de leurs vilainies entre eux. Je ne veux plus rien savoir d’eux , je veux être heureux Que l’argent perpétue ses crimes , il n’aura jamais aucune valeur que sa chimère de bonheur. Mon plaisir n’a que l’entier de votre sourire, mon frère, ma sœur. Je vous aime , vous et…