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Je t’ai regardée et aussitôt, je t’ai aimée.
Je t’ai regardée et aussitôt je t’ai aimée. Mes yeux, en raison de mon cœur. Sans autre question. J’aurais pu t’aimer sans te regarder autrement que des mains qui m’ont nourri. Peu m’importe qui tu es, aveugle à tous, sauf à mon ego. Tu aurais pu m’aimer, pour ce que je te donne de moi,…
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Silence précoce
Je n’ai dérangé personne Et personne ne m’a dérangé Je ne suis et ne serai jamais un homme Si aux battements de mon cœur J’entends déjà précoce le silence de l’éternité L’heure se trompe en voulant la tranquillité Avant de voir la vie respirer, le soleil briller Un jour, celle qui ne voulait pas etre…
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La nuit et toi
La nuit est mon jourMon soleil sont des SoleilsLes étoiles sont Une étoileEtLe jour, mon étoile, Je la voudrais SoleilHelasCe n’est pas ainsiQue la Terre croitLa Terre se voit Univers Et l’Univers ritDe voir la TerreCroire Le Soleil plus Gros qu’une étoile C’est oublier ce que tu esPour moi Tant
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Lettre à des gens de confiance
Il est une maison à laquelle je suis particulièrement attaché, c’est la vie. La vie, pour dire la mienne, âpre et cruelle, lacérée de la douleur permanente, d’une maladie grave et dégénérescente, mais empreinte d’une très grande joie de vivre et d’un courage féroce pour servir cette belle valeur.Il y aurait donc mon nombril en…
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Doux Emmanuel du Thabor
Nous allâmes de la place Vendôme aux orsPar un froid soir d’hiver au Mont ThaborVoir Emmanuel à la barbe copieuseL’homme était si doux à la mise radieuseL’être très beau, la rencontre fut magnifique
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poème du dimanche matin d’une femme vertueuse dit poème de l’oreiller vertueux
Ce dimanche matin, tu vas te réveiller, et pour te sourire, ton oreiller. Imagine un instant, à la place de l’oreiller, un visage connu que tu as une folle envie d’embrasser ? Insoutenable légèreté du poids de la culpabilité pour la belle s’étant endormie avec pour couverture la vertu ! Pourquoi tant souffrir à aimer…
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Tout va très bien
Au silence de la minute d’aprèsTu nous as confié ton éternitéOuvrant sur les étoiles d’un doux vent frais Ton âme, céleste et ta vaste bonté Etre sans bruit, aux battements de nos coeursTu es là, au panthéon en couleurs Des hommes et des femmes simples et influentsPlus qu’un homme, une gentillesse, un talent Au repos…
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Douce
Un imperceptible bruissement d’ailes et à peine mon nouveau droit au bonheur avait il éclos, que la surprise de,ô toi ,🦋 me vint immédiate valse à l’esprit. L’air est volubile au pesant ce que le frais amour est à la peur. Gilles de Chasles