Nous nous en allons par deux à la vie,
Tenant la main à la mort,
Tenant la main à cet autre, qui un jour, ne sera plus.
Nous pourrions marcher en vérité à plus,
Offrant notre cœur à l’infini.
Nous préférons hélas
La peur d’aimer,
La peur de tout perdre
Plutôt de grandir en sagesse et en joies
Plutôt que de rencontrer la croissance,
Même en amour,
De partager.