Maryvonne et Jean

Ils étaient deux

Ils étaient vieux

Fidèles et pieux

 Néants, Silencieux

 Le regard parallèle

L’ennui vaste et cruel

Unis pour le meilleur

Ils trichaient pour le pire

Et durant ce même temps

Maryvonne et Jean

De braves et bonne gens

Cultivaient en leur champ

Le refrain de leurs deux cœurs

Unis  en un doux carillon d’amour

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