La nécessité de la vie épaissie

Nous avons voulu un ciel fini
Entre nous-même et l’infini
Revêtant la nuit de la peur
Et nos esprit du leurre de grandeur
Ordinaires, le cul dans la boue

Le sexe gratte ciel en tabou.
Nos âmes errantes à l’où sur Terre
Nous, décevants enfants, de l’Univers
Ne sommes que distendus de l’extraordinaire
Talent des attendus du bon ancrage de notre matière
Les pieds bien sur Terre
Et de l’oubli d’embellir les ombres de nos lumières
Nos yeux si peu gourmands des hauts cieux.
Le poète le clame et fort l’espère
La vie épaissie des amours est nécessaire.

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