Si longue est la nuit
Traître et lente veille
Berger tue l’ennui,
Clairière, le sommeil
Obscur, si lourd
Se rend le jour
À sa latence
Fiel d’espérance
Nocturnes Ô belles
Sont les étoiles
Aux yeux gourmands
Las, s’y closant
Âme mal dormeuse
Laisse toi errer.
Champêtre et gueuse
Aux bras de Morphée

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