Je suis le malade heureux, en fièvre d’amour
Mon corps de pierre est en creux, toi en rêve, toujours.
Tu es belle, opale aux yeux , les tiens, merveilleux
Ton esprit, resplendissant, en étoiles aux cieux
J’ai planté ma tente, sur le trottoir de ton coeur
J’ai froid en attentes sur le miroir de tes peurs
Sirène au chant si beau, Vénus à embraser
Tendre doux de marbre, que je brûle de caresser
A la musique de nuit , sans sommeil, je rêve à tes rêves
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