poème du dimanche matin d’une femme vertueuse dit poème de l’oreiller vertueux

Ce dimanche matin, tu vas te réveiller, et pour te sourire, ton oreiller.
Imagine un instant, à la place de l’oreiller, un visage connu que tu as une folle envie d’embrasser ?
Insoutenable légèreté du poids de la culpabilité pour la belle s’étant endormie avec pour couverture la vertu !
Pourquoi tant souffrir à aimer ?
Parce qu’au réveil matin de ta vie, tu as choisi le modèle à aiguilles de ta raison plutôt que le mouvement à quartz de ton coeur.

Peut être entends -tu trop le silence sans exigence ou au contraire le bruit d’un monde si pauvre qu’il a la jalousie en unique couleur ?
Peut être n’as-tu assez de croire possibles les battements de coeur des précieux qui t’espèrent là où tu t’interdis ?
Où seras-tu à l’heure du rendez-vous avec ton bonheur ?

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