Baiser pacifique

Ce baiser, à tes lèvres suspendu, en belle ombre, 
A l’automnale lueur, d’une Lune, en demi sombre,
Ce douze novembre, au parfum, clandestin, sans remords,
Qui ? Pour juger nos vies de rêve, alligator?

L’armistice, de mon désir révolte en éclats,
Je n’en peux plus, de cette souffrance ! Or, te voilà !
Féline, duelle, de ton regard, émeraude, braise de ciel,
Je capitule, mon serment trahi, devenu, fiel.
Je crois en Dieu, fermant les yeux, si tôt, le pire nous assassine ! 
Je crois en nous, l’Amour si fort, notre bonheur culmine
Et ta mine! Radieuse ! Nos lèvres, l’une sur l’autre, au délicat, posées !
Poésie des jours suivants , mes mots aux vents.
Nous deux, amants, à nos cruelles blessures, magnifiques !
Gilles de Chasles 

Lorsque le valeureux courage extraordinaire de sauver sa vie est depuis longtemps dépassé; quand l’infâme barbarie en est même aux abois, tant son njuste gouffre est abyssal, il vous faut accepter que l’Amour devienne graine de lumière er se surpasse à une autre conscience. A défaut d’avoir pu vous aimer Dieu se fait amant..


Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :