Penser à moi est me tenir pour bruit ton silence,
De ce que je pourrais avoir pour toi d’importance,
La transparente et insoupçonnable ignorance,
Du renvoi aux calendes de ce que je t’aime, toi intense.
De ton irrévérence, jusque-là, ornée de ma douce clémence
J’en clame aujourd’hui, la cessation de ta prudente innocence,
Offense et regrets me seront désormais larmes si perdure de ton avis plus en avant son enfance.
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