La joie, pourquoi ?

La joie est le sang de l’âme et la peur son poison.

N’est pas un homme, pas une femme qui ne soit mon frère ou ma sœur d’humanité.

L’autre dont j’ai si peur n’est que le malentendu que j’ai avec moi-même d’avoir trop longtemps oublié que j’étais pièce unique d’un puzzle appelé Univers . Ou rien ne manque , ni n’est en trop. Tout est présent pour l’éternité. Y compris la foi et l’intelligence, la paresse et autres générosité ou semblables folies.. Tout n’est que lumière.

La possession n’est que misère et la richesse l’apologie de la déraison.
Vivre n’a qu’un seul but : Trouver sa juste place parmi tous les vivants et la matière . Puis clamer sa joie d’être en harmonie , à sa juste place, sans masse , particule de l’infini dont le liant est la gangue de l’Amour infini.

Mon regard, compassionnel et gracile se fera désormais à ma bouche, poésie de cette beauté absolue d’avoir en moi, en nous, en tout ce même germe d’amour que sa magnificence conduit au divin.
Notre père qui est aux cieux , Tout est dans l’univers est cieux et merveilleux ! Et nous partie des deux qui nous ont engendrés.

Nous confions notre pouvoir d’exister, ensemble, à des ego surdimensionnés, des présidents démagogues, des empereurs du faste et leur cour, les députés, parfois corrompus, représentants de la paresse du peuple fermant les yeux sur le pillage et la gabegie de nos lâches silences, nos hérésies.
Notre seul pouvoir est de vouloir traverser notre vie, sans peur mais empreint de joie immense, hymne à l’amour..

Un n’est que tout . Et tous sommes uniques et équitable ment importants.
Ni plus, ni moins.
S’agissant d’égalité, l’enthousiasme devient vite frileux , L’équité vient en relais. Le courageux est gratifié de plus de joie de faire vivre pour deux, lui et le paresseux. S’il plaît au fainéant de frôler l’inexistence de la tristesse de des larmes sèches à faire de sa vie un désert aride de l’amour, aux yeux noirs de ceux qui lui donnent les os de leur considération en festin, après tout?

Nous n’ avons pas à aimer , mais veiller que à ce chacun se sente fruit de l’amour.
Là est nôtre seule raison de vivre .
En joie, car sang de notre âme. Sans laquelle nous ne sommes plus.
Ni vivants, ni souvenirs.

Le poète, chantre de l’amour s’il en a le grand talent, survit quelques temps de plus à l’ oubli de ordinaire des femmes et des hommes en portant au plus loin de leur cœur, la joie en étendart de l’amour , notre beauté , notre véritable richesse.

Être .
Vivant.

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