Homme, ta peur a son onguent dans la musique de mes mots.
Son prix a celui de ton propre jugement, confronté à mes idéaux.
De la beauté entendue de mes vers, retrouve le luminescent univers
De ce que tu fus jadis, être de courage et de vertu, avant ton calvaire.
Homme, ta peur n’est qu’elle-même, ne serait-ce que l’importance que tu lui accordes.
Si tu trouvais la force de la minorer, de ne point l’écouter, lorsqu’elle t’aborde.
A rebours, regarde-toi sans fierté, mais grâce, dans la beauté des yeux qui te font face.
L’autre est toi-même, sans couleur ni préjugé, juste toi-même, dont la peur te glace.
Comprends que tu es frère d’humanité, ni grand, ni petit, juste égal frère de lumière.
Ne rougis, ni ne tremble, mais agis avec élégance, tes craintes, alors, sauront bien se taire.
Dès lors qu’elles ne seront plus, élève ton cœur et souviens toi que tu es de notre globalité,
Grain de beauté, infime d’Univers, pollen de l’Amour à semer sur tout ce qui luit à notre diversité.
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