Imagine toi un instant vague parmi les vagues de l'océan.
Ajoute l'aléa de la différence à vous toutes, si nombreuses et soudain surprend toi à t'entendre grimacer:
Aïe !
Ce sourd coup de traitrise à ton innocence, qui abusera ta volonté, jusqu'au dernier lever de soleil, celui où épuisé,tu cesseras de résister.
En ce frissonnant petit matin, à bout d'amour,seul horizon possible pour épargner à ton âme la noyade de la sombre injustice, sempiternelle à te harceler au milieu du vent de l'incompréhension, tu refuses de te laisser aller.
Oublie l'outrage des rochers, et autres poisons dont celui des hommes à te polluer et ondule ainsi, vers l'infini de l'espace/temps, là où ni l'espace, ni le temps n'existent peut être pas.
A cet endroit même où nait devant toi une plage heureuse, celle d'yeux si doux qu'ils ne peuvent que lui appartenir.
S'offre alors au nombre de tous les possibles, la joyeuse perspective pour qui sait goûter au suave bonheur de prendre le temps, et sans doute l'instant, de bien détailler ce qui la rend si belle au milieu de cette déferlante de troublantes émotions, l'espoir de la toucher au cœur.
Tu te garderas bien de lui taire la barbarie des mille d'eau parcourus, au profond de tes nuits d'insomnies, la belle oiselle serait effrayée
Et tu te contenteras de la rassurer du panache à être toujours là, là où elle n'attendait pas. Courageux à être doux, tu transporteras sa grâce vers d'autres cieux , là où frêle, un petit papillon bat des ailes pour une coccinelle.
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