Au matin frais du vent dehors
Et de la chaude couette qui nous retient.
S'immisce de l'incertain le sort
De la paresse qui nous va bien
A nous croire las de nous même
Nous laissons filer le temps, précieux
De l'amour qui mène à la haine
De ceux qui errent, les paresseux
Au matin frais du vent dehors
Et de la chaude couette qui nous retient
Profitons de nous même d'abord,
Nous rencontrer nous va si bien.
La paresse est à ceux qui brûlent le temps
Le courage à ceux qui le prennent à temps
Notre mort se sait,nous l'ignorons
Soyons toujours riches de l'instant, dernier qui nous surprendra
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