C’est votre ami, je le crois,
Aux lourds pas, lames de couteau
Usager de la douleur,
Expert plus que tout médecin
Qui ne peut décemment
Vous adresser ses bons vœux
Tant l’année annoncée s’avère triste.
Triste de la deraison de ce prèsent
Égaré dans les brumes de la peur
Coupable de ma simple liberté de penser non
Quand la resignation de la Foule ,
Devant le ppuvoir tout puissant n’ose le prononcer ?
Comment souhaiter à vous mes amis sincères
Une bonne année pleine de dettes en guise de futures étrennes à nous même et à nos enfants
Quand des financements entiers d’hôpitaux ne se feront plus
Par la corruption de notre raison de parents à la peur de perdre nos aïeux.
Des milliards dépensés
Vous malades ,
Et moi debout ?
Vous dans un restaurant chauffé et moi dehors ?
Comment dans ces conditions vous sourire avec mes seules larmes ?
Comment vous souhaiter le meilleur
Moi qui vous d’aime d’Amour
Prix à payer pour vous répondre ça va quand rien ne va ?
Comment , oui vous adresser mes vœux désabusés,
Quand j’ai à vous hurler tout Mon Amour éternel et sans condition pour Vous , fruit fraternel de mon bonheur à vous chérir, moi l’orphelin de la bonne santé quoique vous me blessiez ou m’abandonniez .
La vérité , faut il vous le rappeler , ne pousse jamais du haut vers le bas
Mais du bien du bas vers le haut
Rappelez du mensonge d'une vérité éclatante d'un hommee réfugié à Londres en juin 1940 seul contre tous
ceux qui croyait un vieux Marechal
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