
C’est parce que tu brilles plus que tu ne le crois
Qu’ à mes yeux soleil qui m’éblouit de son feu
Des étoiles luminescentes vient mon désarroi
A vouloir plus pour toi que le clair de tes vœux.
Hagard, phare ambulant errant parmi tes temps
Mon miroir perdu à ne tenir ta lumière,
Ma patience sera le falot qu'il te faut tant
Que, de ta tempête intérieure tu sortes, solaire
C'est alors apaisés que nous serons nous deux
Réunis dans la communion du temps, offerts

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