Au soir de ce que nous aurons été, le fruit de l’excès si outrancier à la Terre et à nous-même, de nos tous nos vils abus,
Avant que ne résonne le glas de l’ère de la déraison, annonçant au soulagement de l'Univers, la venue de l’inespérée apocalypse des cupides méchants,
Ne percevez-vous pas, vous, hommes, femmes, enfants, ombres trop longtemps complices du recel silencieux de ses matériels bienfaits,
Le souffle léger de l'intuition, à l’instant encore chuchotis à nos pâles consciences de l'appel de notre mère à tous,l’Harmonie du Monde, au réveil de notre âme, si longtemps délaissée par la corruption de nos corps et plus encore de la gourmandise au paraître de nos esprits inconscients?
Si oui, alors ne désespérez jamais de l’avènement de L’Espoir,
L’heure des Gentilles et Gentils, éclairée de l’Âme, est venue.
Votre commentaire