A Saint-Malo, des flots, le visage mouvant Des nombreuses couleurs, au vaste fil des heures Courant des pleines marées au bas du jusant Illumine notre joie du plus grand des bonheurs.
Des mémoires d’outre tombe au tombeau du Poète De l’Estuaire de la Rance à la proche Cézembre Des journées de soleil aux plus viles tempêtes Et la grâce s’étend, de janvier à Décembre
Des riches heures passées, des remparts à errer Le corps sur terre, l’esprit ailleurs, ou au contraire Mon âme s’émeut des amoureux rencontrés
Car, à Saint-Malo, de ses effluves marines À la confluence des énergies magnifiques Spirituel et fidèle, je me suis fait bernique.
Poème dédié à tous mes amis malouins , et voisins. Et tout particulièrement.
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