Injustice, ô combien je te méprise
De ton arrogance d’avoir tort,
De m’assoiffer de ma juste raison !
De ton impuissance à crier victoire,
De tes crocs rageux tu me mords
Espérant m’abattre, tu me rends fort
La certitude éclairant mon désespoir.
De mon écorce dont tu fais charpie
De toutes ces amitiés soudain enfuies
Au vent du temps inintelligent de la crainte
Coule en moi la sève de la sérénité à peine feinte
Un jour, du ciel gris de ces jours douloureux,
Réapparaîtra la chaleur et la lumière de la vérité
Je jubilerai alors d’un sourire intérieur, je serai heureux
Au confluent des temps futur et présent,
J’humerai l’air délicat et frais de la vie qui va.
Tant pis pour la cicatrice, les amitiés esseulées.
Je serai là.
Droit
Face à toi.
Je te regarderai .
Sans baisser les yeux.
Le regard fier d’avoir eu raison
Quand la raison me donnait tort.
La vérité du présent n’existe jamais,
Seule compte celle du temps qui reste.
Ne l’oublie jamais.
Imprudente pressée
WordPress:
J’aime chargement…
Votre commentaire